Une nouvelle session de négociation sur la santé au travail a eu lieu le 5 avril 2022.
La réunion a porté sur les risques psycho-sociaux, notamment la ligne éthique. L’entreprise propose une formation pour les membres du CSSCT qui sont dans la veille RPS, pour développer leur rôle dans cette approche. La CFE-CGC a demandé de renforcer le suivi des salariés « nomades ».
Le processus de la ligne éthique pose question sur l’aide que chaque salarié est en droit d’avoir quand il ou elle est impliquée dans une enquête. Nous avons sollicité la direction pour accompagner les personnes dans le cadre de la ligne éthique, la direction a préconisé un renvoi vers le médecin du travail et ne souhaite pas pour l’instant ouvrir l’accès aux éléments aux OS.
Sur l’exposition aux risques liés aux postes de travail, l’objectif du groupe est de développer la sécurité à travers l’engagement de chacun. L’entreprise déploie différents programmes sur la sécurité, ainsi que des ateliers pour les managers.
Nous avons émis de nombreuses demandes de progrès sur la prévention de ces risques, qu’ils soient chimiques ou ergonomiques.
La CFE-CGC a également rappelé les efforts nécessaires pour le maintien en emploi lors d’une inaptitude, même si ce sujet est abordé dans l’accord handicap, il reste une problématique de santé au travail.
Sur la transition entre vie active et retraite, l’entreprise a accepté la demande de la CFE-CGC. Elle porte le temps dédié à l’implication dans la vie locale de 40h à 80 h/an pour les personnes qui ont plus de 58 ans.
La CFE-CGC est motrice sur ces sujets importants. N’hésitez pas à nous remonter vos préoccupations.
Nicolas Mirvault, Délégué Syndical, le 5 avril 2022.